Une fillette de 11 ans terrifiée tend une note à l’enseignant qui se précipite au téléphone et appelle la police

Être victime d’un crime grave peut avoir des répercussions majeures plus tard dans la vie. Cela peut engendrer la peur, l’insécurité et, dans le pire des cas, des problèmes de santé mentale pour la personne concernée si elle ne reçoit pas l’aide nécessaire.

C’est pourquoi c’est si triste quand ça arrive ; parce que cela a des effets durables. Un cas particulièrement affligeant qui vient à l’esprit est celui d’une femme de Louisiane, États-Unis, et sa fille de 11 ans, qui ont toutes les deux été victimes d’abus….

Le petit-ami de la femme a tenu la mère et la fille captives. La mère avait tellement peur de lui qu’elle n’a pas osé contacter la police, selon CNN.

Heureusement, la fille avait toujours le droit d’aller à l’école, et la mère a donc élaboré un plan pour essayer de les sauver toutes les deux.

Elle a écrit un message sur une petite note et a dit à sa fille de l’apporter à l’école avec elle.

Quand la fille est arrivée à l’école, elle a fait comme sa mère le lui avait demandé et a remis la note à l’enseignant. Ce dernier a immédiatement appelé la police, alertant ainsi les autorités d’un problème imprévu.

Lorsque les policiers ont visité la caravane où la mère était détenue, personne n’a répondu à la porte. Ils ont été forcés de partir et de quitter les lieux.

Nouvelle tentative

Peu de temps après, cependant, un tribunal a donné à la police un mandat afin d’entrer dans la propriété. Ils ont rapidement pris d’assaut la caravane, plaçant le petit-ami en état d’arrestation et libérant la mère et sa fille.

Aucune d’entre elles ne souffrait de blessures physiques, mais l’angoisse qui a marqué leur quotidien est susceptible de laisser des répercussions pour le reste de leur vie.

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« C’est alarmant quand un élève arrive avec une note demandant de l’aide, » a déclaré le shérif d’East Feliciana, Jeff Travis, après l’arrestation.

Le coupable, Donald Ray Guy, était déjà connu de la police et placé en détention préventive.

Grâce à la fille de 11 ans qui a osé apporter la note à l’école – et sa mère pour l’avoir écrit en premier lieu – tout s’est bien terminé.

Nous ne pouvons qu’espérer qu’en dépit des difficultés qu’elles ont rencontrées, ni la mère ni la fille n’auront de séquelles durables.

 

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