Ce n’est jamais agréable quand des personnes nous embêtent, et je pense que nous tous pouvons comprendre cela. Si seulement les gens pouvaient écouter dès la première fois.
Pavao Bedekovic, un fermier croate, sait sans doute de quoi il est question. Le fermier a, de manière répétitive, demandé aux conducteurs, qui utilisaient ses terres privées comme une aire de stationnement, de ne pas se garer là.
Mais personne n’a écouté – et c’est alors qu’il a décidé de leur donner une bonne leçon qu’ils ne seraient pas près d’oublier.
Sa solution ? Elle était aussi créative que brillante !
Pavao habite et travaille sur une ferme en Croatie, et, bien que la ferme soit assez isolée, un marché aux puces est fréquemment organisé dans les environs, attirant le public vers cette région.
Mais cela avait de terribles répercussions chez Pavao – de nombreux visiteurs, souvent conduisant depuis d’autres villes ou mégalopoles, et qui ont décidé de choisir son terrain pour faire office d’aire de stationnement de fortune.
Semaines après semaine, Pavao a demandé aux membres du public de se garer ailleurs, mais il a été ignoré. En fin de compte, il a fini par comprendre qu’il devait aller s’adresser à des niveaux supérieurs et revenir avec d’autres solutions. Et c’est ce qu’il a fait.
Il est monté sur son tracteur et a fouillé la terre jusqu’à retourner la tête et créer une longue tranchée derrière la rangée de voitures garées sur ses terres. Le résultat ? Les voitures ne pouvaient s’en sortir et donc continuaient leur route après la visite.
Les conducteurs menaçaient de porter plainte à la police contre Pavao, mais comme les terres lui appartenaient, il ne pouvait pas y faire grand-chose.
Ses actions peuvent sembler un peu impensables, mais hey, pouvons-nous réellement blâmer cet homme ?
Appréciez le clip ci-dessous et jugez par vous-même :
Est-ce que vous pensez que le fermier a bien agi ou pas ? N’hésitez pas à partager l’histoire autour de la petite ‘vengeance’ avec vos amis et votre famille sur Facebook, et voyez ce qu’elles en pensent.
