Après près de deux semaines passées à la clinique londonienne suite à son opération de l’abdomen. Kensington Palace a annoncé que Kate Middleton allait finalement retourner à Windsor pour poursuivre sa convalescence.
Les membres de la famille royale sont des personnes comme les autres et doivent faire face à des problèmes de santé comme les autres. Toutefois, comme il s’agit d’un cas très particulier, les médias s’y sont intéressés de près et les rumeurs ont été nombreuses.
Bien que Kate ait décidé de ne pas partager tous les détails concernant son état de santé, le public a voulu en savoir plus sur elle. Un expert de la famille royale s’est montré très frustré, comparant cette situation à de l’intimidation. Malheureusement, cela est déjà arrivé à Kate Middleton.
Kate Middleton a passé près de deux semaines à la clinique de Londres après ce que le palais de Kensington a déclaré être une opération abdominale « planifiée ». Mercredi, il y a près de deux semaines, le palais a publié cette déclaration une heure à peine avant que l’on apprenne que le roi Charles devait subir un traitement pour une hypertrophie de la prostate. Aujourd’hui, 13 jours après l’opération, elle peut enfin rentrer chez elle.
Selon le Telegraph, Kate n’a pas été transportée d’urgence à l’hôpital. Cependant, ses assistants planifiaient encore ses voyages et ses futurs engagements à la fin de la semaine dernière. Plus tard, des questions ont été soulevées concernant le choix de Kate de ne pas partager la nouvelle avec d’autres personnes que sa famille proche.
Kate Middleton a caché son projet d’opération à des amis de la famille
Selon le magazine People, la nouvelle de l’hospitalisation de Kate Middleton a été une surprise totale pour les personnes travaillant en étroite collaboration avec les membres de la famille royale, les parents et les amis du cercle élargi de William et Kate. La princesse de Galles a caché qu’il se passait quelque chose.
Après Noël, le prince William et Kate ont retrouvé des amis à leur résidence d’Anmer Hall, dans le Norfolk, avant de fêter leur anniversaire en privé le 9 janvier.
Au sein de leur cercle d’amis élargi, rien n’indiquait que Kate allait mal lorsqu’ils se trouvaient à Anmer Hall.
« La nouvelle soigneusement gardée de la situation de Kate a surpris même ceux qui travaillent en étroite collaboration avec la famille royale », a rapporté People.
Le prince William aurait rendu visite à son épouse bien-aimée tous les matins à l’hôpital, qui a été lourdement gardé par la police.
John F. Kennedy, alors membre du Congrès américain, s’est vu diagnostiquer la maladie d’Addison à la clinique en 1947. En 1963, la star hollywoodienne Elizabeth Taylor a subi une opération du genou à la London Clinic après avoir chuté lors du tournage d’un film.
Un expert royal estime que le besoin du public de connaître les détails de l’opération de Kate pourrait être considéré comme un « harcèlement »
La raison exacte de l’opération abdominale de Kate n’a pas été révélée. La princesse de Galles a décidé de ne pas dévoiler les détails de son opération abdominale, mais le public a tout de même voulu en savoir plus sur sa princesse bien-aimée.
Cependant, le fait que les gens veuillent en savoir plus sur Kate au sujet de son problème de santé a inquiété un expert royal. Richard Eden a participé à l’émission Palace Confidential et a pris la défense de Kate Middleton. Il a même déclaré que le public a écrit des lettres au Times et leur a écrit en ligne pour demander plus d’informations.
Il a même déclaré que le fait de faire pression sur Kate pour qu’elle donne des informations pourrait être perçu comme une « intimidation ».
« Je pense qu’il n’y a aucune raison pour qu’elle se sente obligée de donner plus de détails », a déclaré Eden. « Si elle veut le faire plus tard, c’est bien, c’est à elle de décider. Mais elle ne devrait pas se sentir obligée de le faire ».
Eden a continué à parler des commentaires du public, en disant : « C’était ‘Elle devrait donner plus de détails’ et ‘Pourquoi ne le fait-elle pas ?
« La pression s’est accrue, des lettres ont même été adressées au journal The Times, disant que ce serait un excellent exemple pour les autres femmes si elle parlait plus ouvertement de ses problèmes médicaux et de ce genre de choses.
