Certains rêvent d’avoir un ou deux enfants, d’autres pas. Mais si vous vous décidez à fonder une famille, il est rare de penser à une fratrie de 11 enfants.
C’est tout bonnement le cas de Christina Ozturk, originaire de Russie.Mais ses rêves ne se limitent pas à cela.
Elle souhaite désormais devenir la mère de 100 autres enfants.
« Nous ne savons pas encore quel sera le nombre final. Chaque chose en son temps », confie-t-elle au journal britannique The Sun.
Quand on trouve le grand amour, on veut aussitôt penser aux enfants.
Mais avoir des enfants est une grande étape à franchir et ne devrait être entrepris que si vous le désirez vraiment et si vous comprenez que vous avez la capacité de tout donner à l’enfant.
Il y a six ans, elle a donné naissance à son premier enfant et depuis, on peut affirmer qu’elle n’a pas chômé.
Aujourd’hui, elle est la mère de 11 enfants.
« Aujourd’hui, j’ai 10 enfants et la dernière née, Olivia, est née à la fin du mois dernier.
« J’ai moi-même donné naissance à ma fille aînée Vika il y a six ans. Les autres enfants sont génétiquement les nôtres, de mon mari et moi, mais on a eu recours à des mères porteuses ».
Son vœux le plus cher : avoir 100 enfants de plus
Christina est heureuse en ménage avec l’homme d’affaires Galip Ozturk, 56 ans, avec qui elle espère avoir d’autres enfants.
Et pas seulement un ou deux enfants de plus.
Non, Christina et son mari espèrent devenir les parents de 100 enfants.
« Je ne sais pas combien il y en aura à la fin, mais nous ne finirons certainement pas avec seulement 11 », dit-elle.
« Nous ne sommes pas encore décidés à parler de combien d’autres. Chaque chose en son temps « , dit-elle au journal britannique The Sun.
Mais il y a aussi une importante question.
Recruter les mères porteuses
Si elle veut essayer d’atteindre son objectif avant l’âge de 30 ans, elle doit avoir 12 enfants par an, pendant les sept prochaines années.
« La clinique choisit les mères porteuses pour nous et assume l’entière responsabilité de cette démarche », explique Christina.
« Nous ne rencontrons pas les mères porteuses et n’avons aucun contact direct avec elles pour éviter tout problème après la grossesse. »
Mais même s’ils n’ont aucun contact, Christina aime être aux commandes.
Un investissement de milliers d’euros
C’est elle qui décide, entre autres, de ce que les femmes doivent manger pendant la grossesse, et établit des plans avec un régime alimentaire précis qu’elles doivent suivre.
La famille, qui s’agrandit rapidement, vit dans la ville portuaire de Batumi, en Géorgie, où il est légal de payer des mères porteuses. Une mère porteuse coûte environ 8 000 euros.
Si le couple compte avoir autant d’enfants que Christina souhaite dans les années à venir, ils devront dépenser 712,000 euros pour payer les mères porteuses.
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