Donald Trump admet que Melania aime quelqu’un plus que lui

Lors d’une conférence de presse destinée à mettre en avant la diplomatie mondiale, Donald Trump a fini par donner aux journalistes un aperçu de quelque chose de beaucoup plus personnel : sa vie familiale.

Lors d’une apparition conjointe avec le président ukrainien Volodymyr Zelenskyy, le président a soudainement changé de sujet, passant des affaires internationales à son épouse, Melania Trump.

Des pourparlers de paix aux discussions familiales

La visite de Volodymyr Zelenskyy à la Maison Blanche le 18 août a été très attendue. Elle faisait suite à la rencontre entre Donald Trump et Vladimir Poutine en Alaska et a donné lieu à de nombreuses spéculations, notamment au vu du déroulement de la dernière rencontre.

Mais le deuxième round à la Maison Blanche s’est déroulé beaucoup plus harmonieusement. Zelenskyy est arrivé vêtu d’une veste militaire de style français en toile militaire, dotée de quatre poches plaquées. Son look ressemblait davantage à un manteau de campagne qu’à un costume, mais semblait tout de même plus approprié, du moins à en juger par la réaction de Trump.

La discussion portait initialement sur les efforts de paix en Ukraine. Mais Trump a surpris l’assemblée en évoquant une lettre sincère que Melania avait écrite aux dirigeants russes, dans laquelle elle implorait qu’il soit mis fin aux souffrances des enfants pris dans la guerre.

Flickr / La Maison Blanche

Selon Trump, sa femme a été profondément bouleversée par les images de jeunes vies perdues à cause de la violence. « Elle aime son fils. Elle aime les enfants. Et elle déteste voir ce genre de choses se produire. Et cela vaut aussi pour les autres guerres. Je veux dire, elle voit le chagrin, les parents, les funérailles que l’on voit à la télévision. Toujours des funérailles. Nous voulons voir autre chose que des funérailles », a-t-il déclaré aux journalistes.

Puis vint la réplique qui fit rire toute la salle : « Elle adore les enfants, elle a un fils merveilleux qu’elle aime probablement plus que tout le monde, y compris moi, même si ça me déplaît de le dire ».

Ce fut un moment rare et sincère qui a révélé non seulement les priorités de Melania, mais aussi la dynamique au sein du foyer Trump.

Une mère avant tout

Melania a fait profil bas pendant le second mandat de Trump, préférant se concentrer sur sa famille plutôt que sur la scène sociale de Washington.

Ses amis et ses proches soulignent souvent que sa priorité numéro un a toujours été son fils de 19 ans, Barron, et de veiller à ce qu’il mène une vie aussi normale que possible malgré l’attention médiatique dont il fait l’objet.

Melania Trump s’est donné pour mission de défendre et de soutenir son fils, et en tant que parent, qui ne ferait pas de même ?

Donald a déjà reconnu son influence par le passé. Lors de son premier mandat, il lui a attribué le mérite de l’avoir poussé à s’attaquer au problème du vapotage chez les jeunes, expliquant que sa passion venait de son souci du bien-être de leur fils et des dangers plus généraux qui menacent les enfants.

Un expert en lecture labiale révèle

Ceux qui suivent de près la Première Dame savent qu’elle n’est pas seulement une main directrice à la maison, mais qu’elle est également intervenue à des moments publics cruciaux.

L’un des exemples les plus frappants s’est produit plus tôt cette année, lors des funérailles du pape François à Rome, le 26 avril 2025, qui coïncidait également avec le 55e anniversaire de Melania.

Malgré le moment personnel, Melania, catholique pratiquante, a considéré assister aux funérailles comme un honneur. Elle était vêtue d’un ensemble noir avec un voile traditionnel, tandis que Donald a attiré l’attention en se présentant dans un costume bleu nuit et en mâchant même du chewing-gum pendant la cérémonie.

Melania Trump et son fils Barron Trump quittent la Trump Tower à Manhattan le 7 juillet 2021 à New York. (Photo de James Devaney/GC Images)

Quand il a hésité à participer au rituel du « signe de paix », c’est Melania qui s’est penchée vers lui et l’a discrètement encouragé à suivre le protocole.

Un expert en lecture labiale a ensuite remarqué qu’elle l’avait incité à serrer la main des dirigeants mondiaux présents, notamment le président estonien Alar Karis, le roi Felipe VI d’Espagne, la reine Letizia et le président français Emmanuel Macron. Cette subtile incitation a permis d’éviter ce qui aurait pu être un moment très embarrassant sur la scène internationale.

Concilier devoir public et foi privée

Des sources proches de Melania affirment qu’elle pratique sa foi en privé et en parle rarement en public. Malgré tout, assister aux funérailles du pape revêtait une grande importance pour elle. Alors que certains auraient préféré passer leur anniversaire à faire la fête, un ami a fait remarquer que Melania « n’avait aucune objection à passer la matinée de son anniversaire aux funérailles et prévoyait de faire la fête après ».

Elle est devenue la première Première dame catholique depuis Jackie Kennedy, et sa présence sur la place Saint-Pierre aux côtés de dirigeants mondiaux — dont le prince William, le roi Philippe et la reine Mathilde de Belgique, ainsi qu’Emmanuel Macron — a rappelé le rôle discret mais important qu’elle joue sur la scène internationale.

Qu’il s’agisse d’écrire aux dirigeants mondiaux au sujet des enfants dans les zones de conflit ou de guider discrètement son mari pour éviter les faux pas protocolaires, Melania Trump a clairement montré où allait son cœur.

Et si l’on en croit les propos de Donald Trump, il ne fait aucun doute qui elle chérit le plus : son fils.

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