Une femme meprise un policier entrain de déjeuné au Burger King pendant son service – Il a une réponse parfaite

Nous sommes nombreux à avoir des journées chargées où nous courons d’une chose à l’autre, essayant de tout faire avant une certaine heure.

Nous avons tous connu ces jours où nous avons du mal à trouver le temps d’aller aux toilettes, sans parler de savoir ce que nous allons manger.

Mais lorsque nous faisons une pause, il est si agréable de disposer de cinq minutes pour se détendre et se nourrir, et il en va de même pour un officier de police.

Lorsque le policier Andre Owen s’est arrêté pendant sa seule pause au cours d’un service de 12 heures pour prendre de la nourriture, une femme a décidé de lui faire honte de ses actes.

Sa réaction sur les réseaux sociaux a fait tache d’huile, des milliers de personnes ayant manifesté leur soutien à ce policier qui travaille dur.

Andre Owen (Twitter)

Andre Owen sait qu’une journée dans la vie d’un policier n’est pas de tout repos. En tant qu’agent de police, il sait aussi à quel point les membres des forces de l’ordre du monde entier travaillent dur pour assurer la sécurité des citoyens.

Bien sûr, les personnes qui travaillent dur, comme nos policiers et nos officiers, ont parfois besoin d’une pause.

Ils ont beau sauver des vies et passer pour des super-héros, ils n’en restent pas moins des êtres humains.

Lorsque l’agent de police Owens a pris une pause, il avait travaillé pendant sept heures d’affilée et il lui restait un trajet de 160 km à faire et de la paperasse à remplir.

Il savait qu’il devait manger pour tenir jusqu’aux prochaines heures de son service et s’est donc rapidement arrêté au Burger King.

Andre Owen (Twitter)

Malheureusement, une femme dans le restaurant ne s’est pas souciée de cela. Elle a décidé de faire honte à Owen en lui reprochant d’avoir acheté de la nourriture pendant son service.

Le policier Owen s’est acheté un hamburger, un soda et un café et s’apprêtait à regagner sa voiture pour effectuer le long trajet qui le ramènerait à son poste, lorsqu’une femme lui a dit :

« Pendant que vous vous empiffrez ici, il y a des criminels à attraper dehors ».

C’est alors que le policier a déclenché la meilleure réaction possible.

Bouleversé par la réaction de cette femme qui lui demandait de prendre un moment pour manger après avoir passé des heures apparemment interminables à aider les autres, Owen s’est rendu sur Twitter pour partager son histoire.

Il a déclaré que la dame qui l’avait critiquée pour avoir acheté de la nourriture l’avait regardé fixement pendant qu’il attendait de prendre sa commande et l’avait ensuite frappé avec ce commentaire.

Le tweet de l’agent Owen est devenu viral et des milliers de personnes se sont manifestées pour soutenir ce policier qui travaille dur. M. Owen, qui travaille pour la police du Sussex depuis cinq ans, a reçu plus d’attention qu’il ne l’aurait jamais imaginé.

« Je l’ai mis sur Twitter et le tweet a pris beaucoup d’ampleur, avec un soutien très positif. Ce tweet n’avait pas pour but de susciter la sympathie, mais de montrer au public la réalité qui se cache derrière ce qui est courant au Royaume-Uni », a-t-il déclaré, selon le Evening Standard.

S’adressant au Mirror, le policier a expliqué qu’il avait eu une journée incroyablement chargée avant que la femme ne lui crie dessus.

Il était 14 heures ce jour-là, et il était fatigué, affamé et prêt à terminer son service à 15 heures.

Mike Mozart/Flickr)

« Cinq minutes après avoir pris mon service, j’ai été affecté à un travail sérieux à Brighton. Je m’en suis occupé, puis j’ai dû conduire sans arrêt jusqu’à Oxford dans le cadre du même travail, en équipage unique », a-t-il déclaré.

« Une demi-heure après le début du voyage de retour, je me suis arrêté dans une station-service pour mon premier arrêt aux toilettes de la journée ! J’y ai également pris un double whopper, une tarte aux pommes, un coca et un cappuccino.

C’est alors que la femme anonyme a choisi de faire des suppositions sur la situation lorsqu’elle a vu l’agent en uniforme.

« Une dame, qui mangeait son propre repas, n’arrêtait pas de me fixer pendant que j’attendais », se souvient M. Owen.

J’ai récupéré la nourriture et, en partant, elle m’a dit quelque chose comme « pendant que vous êtes ici à vous goinfrer, il y a des criminels à attraper dehors », j’ai souri et je suis parti sans dire un mot.

Andre Owen (Twitter)

Le policier a expliqué que son service s’est ensuite prolongé après qu’il a proposé d’aider une famille dont la voiture était en panne, ce qui a porté son service à 12 heures.

Bien qu’il ait dépassé la fin de son service, il n’a pas hésité. Owen s’est arrêté et a apporté son aide, interrompant la circulation et mettant un couple et ses enfants en sécurité.

« J’ai ensuite attendu que les secours viennent les chercher, en utilisant mes feux bleus pour protéger tout le monde. Cela a ajouté une heure à ma journée déjà longue », explique Owen.

Malheureusement, il lui restait encore une centaine de kilomètres à parcourir avant d’être de retour au poste. Une pile de paperasse l’attend pour qu’il puisse rentrer chez lui.

Il a finalement terminé son service à 19 heures.

« Bien qu’il soit long et que la dame m’ait agacé à l’époque, j’aime mon travail et, dans l’ensemble, je ne le changerais pour rien au monde », a-t-il ajouté.

Andre Owen (Twitter)

Les policiers sont aussi des êtres humains ! Je sais que de nombreux policiers peuvent comprendre l’histoire du policier Owen. Nous le remercions pour son travail acharné et son dévouement à la sécurité de nos rues.

La plupart des policiers aiment leur travail, même si les heures sont longues et ingrates. 

Il faut beaucoup d’engagement pour risquer sa vie pour de parfaits inconnus, dont beaucoup vous mépriseraient pour la faute mineure d’avoir pris une pause déjeuner. 

Alors, la prochaine fois que vous verrez un policier en train de manger rapidement, offrez-lui un sourire plutôt qu’une supposition.

Nous ne savons pas toujours ce qu’il ou elle a vécu ou ce qu’il ou elle est sur le point d’affronter. Et n’oubliez pas que les policiers sont aussi des êtres humains.

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